Voilà ce qu'aurait dit Thomas Jefferson ou plutôt écrit à son ministre du budget Albert Gallatin en 1802. S'il l'a vraiment écrit, il avait du nez le bougre -comme on peut le voir sur la photo d'ailleurs :-).
"I believe that banking institutions are more dangerous to our liberties than standing armies. If the American people ever allow private banks to control the issue of their currency, first by inflation, then by deflation, the banks and corporations that will grow up around [the banks] will deprive the people of all property until their children wake-up homeless on the continent their fathers conquered. The issuing power should be taken from the banks and restored to the people, to whom it properly belongs. "
Dans la foulée, voilà ce que prédisait Nostradamus - VIII- 28
"Les simulachres d'or et d'argent enflez,
Qu'après le rapt au feu furent jettez,
Au descouvert estaincts et tous troublez :
Au marbre escrits, perscrits interjettez."
Deux possibilités : soit ils sont très forts, soit on répète sans cesse les mêmes erreurs, pire on les accentue. Un peu flippant quand même
Concernant Nostradamus, on cite toujours des extraits de predictions ayant un (tres) vague rapport avec des evenements actuels.
Mais si on devait citer ses predictions qui ne se sont jamais realisees, on devrait recopier quasiment l'integralite de son "oeuvre"... Non ? ;)
Rédigé par : Manu | 01 avril 2009 à 12:54
poisson d'Avril?
Rédigé par : K | 01 avril 2009 à 14:19
Nostradamus OK. Surtout qu'on lui fait dire ce qu'on veut au gars.
Mais Thomas Jefferson c'est pas une blague. Je me suis tapée hier soir tout un échange de lettres non seulement avec son Secretary of Treasure mais avec Dupont de Nemours et un certain Koscziusko - mais sans Morizet, et il aimait vraiment pô les banques.
Dino B.
Rédigé par : Nat | 01 avril 2009 à 14:39